Lily of the Valley
Joyau d’un bien-être réinventé
Mots : Barbara Wesoly
Il est des lieux qui redéfinissent les frontières. Celles de l’évasion et du soin de soi. Du prestige et de la convivialité. Lily of the Valley est de ceux-là. Une sublime fugue au large de Saint-Tropez où le bien-être se raconte par l’éblouissement d’une élégance végétale aux accents méditerranéens, imaginée par le designer Philippe Starck.
La certitude de pénétrer dans un havre secret s’impose dès les premiers instants, alors que l’on gravit les chemins rocailleux du domaine du Cap Lardier, sur les hauteurs de la Croix Valmer. Celui de Lily of the Valley, un éden tropézien ouvert à l’année et préservé de l’effervescence, à l’ombre des pins parasols et des oliviers. Et dont la moindre parcelle respire l’éveil à soi comme au beau, dans toutes ses dimensions. De ce panorama ensorcelant surplombant la mer Méditerranéenne et plongeant vers la Baie de Cavalaire et les Iles d’Or, aux lieux eux-mêmes, orchestrés tel un village plutôt que comme un complexe hôtelier par le génie créatif de Philippe Starck. 8 pools suites indépendantes et une villa avec piscine et jardin privé, côtoient 38 chambres et 6 suites s’éparpillant dans de petites maisons à l’architecture organique et luxueuse. Chaque espace est empreint de l’âme des abbayes provençales comme inspiré par le design des villas californiennes, tout en se voulant le rappel des jardins suspendus de Babylone. Le cuir naturel se conjugue au béton brut, au bois exotique et au marbre, la terre s’allie aux céramiques grecques et aux livres d’art disséminés un peu partout, tandis que les plantes grimpantes et la palette de teintes minérales et douces achèvent la rencontre de la sérénité et du goût.
Le soin de soi pour fondement
Tout est en effet question de synergie à Lily of the Valley. Et tout particulièrement en matière de bien-être. Né du désir d’un père et de sa fille de reconjuguer l’élégance au wellness, l’hôtel a développé une approche holistique unique, autour de trois piliers centraux : la gastronomie, le sport et les soins. Et ce sont ainsi 2000 mètres carrés qui sont dédiés à des programmes axés vers la remise en forme, la préparation physique, la perte de poids ou encore le better-aging, rassemblant tout à la fois du matériel d’excellence et des experts et thérapeutes pointus, encadrant un programme défini sur mesure. Une personnalisation qui s’affirme dans les moindres détails, des soins, aux séan-ces de coaching individuel, mais aussi menus du Vista, le restaurant central du complexe, dont la cuisine saine et gourmande du chef Vincent Maillard vibre au diapason du terroir du sud et des préférences de chaque visiteur.
Un intermède de sérenité
Si Lily of the Valley fait la part belle aux besoins et objectifs de ceux qui y séjournent, le ressourcement en demeure l’essence, y compris lorsqu’il se vit au rythme du lâcher-prise et du luxe d’un temps suspendu. Gorgé du bonheur d’observer se lever le soleil sur la terrasse intime de sa chambre, de se baigner dans une piscine déployant à perte de vue un paysage de mer et de pinèdes, de sentir le soleil réchauffer sa peau durant une séance de yoga extérieure. Ou celui d’une balade sur la plage privée de Gigaro en contrebas, avant d’aller manger à la terrasse de la Brigantine où l’on profite de divines saveurs italiennes traditionnelles ou chez Pépé, le Beach Club attenant, à l’ambiance et aux plats légers et savoureux. Si, tout dans ce domaine est conçu pour que la nature y reprenne ses droits, il cultive tout autant les jours heureux.
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