Energy-Wave

Energy Wave

A la pointe du bien-être

Des centres de bien-être, il y en a pléthore. Mais une nouvelle adresse qui réunit cryothérapie, oxygénothérapie, Chi Machine, Pandora Star lampe neuro-stimulante et Float Tank, en proposant des appareils dernier cri, il n’y en a qu’une. C’est dire notre enthousiasme à découvrir Energy Wave et à tout tester. Ou presque.

| Par Servane Calmant |

 

Victor Bigare, 26 ans, nous accueille au coeur du Fort Jaco, à Uccle, dans un bâtiment flambant neuf de 160 m2 qu’il a lui-même pensé et dessiné. Murs blancs, sols blancs : l’épure au service d’une philosophie. Car la voie du minimalisme qu’il a choisie invite clairement à se concentrer sur l’essentiel et rien d’autre : soi. Prendre soin de soi, c’est là l’invitation lancée par ce jeune entrepreneur qui a beaucoup voyagé, notamment au Japon et au Canada, et qui a ramené dans ses bagages sept soins de dernières technologies axées sur le bien-être, la remise en forme, et l’anti-âge.

Energy-Wave

Sans oxygène, pas de vie !

Voilà une affirmation que Victor Bigare défend avec force, lui qui a installé au rez-de- chaussée de Energy Wave, deux machines à oxygène, « l’une pour l’inhaler, l’autre pour oxygéner le corps de manière… mécanique », précise-t-il. Par le nez, on visualise clairement l’opération; l’oxygénation mécanique attise davantage notre curiosité ! Faisons l’érudite : la concentration en oxygène de l’air ambiant est stabilisé autour de 20% ; l’oxygénothérapie va enrichir cette concentration à 95%, jusqu’à saturation donc, via deux petits tubes positionnés à l’entrée de nos narines. En 15 minutes chrono – un timing parfait pour les citadin.e.s invariablement pressé.e.s – , notre système immunitaire se voit littéralement reboosté, prêt pour contrer les virus et microbes ou la gêne respiratoire liée à la pollution.

Testons la Chi Machine – la vraie, car les copies sont légion ! Inventée par un médecin japonais, cette sorte de… vibromasseur pour chevilles revêt une apparence somme toute banale ! Pourtant son impact sur la circulation oxygéno-sanguine semble extraordinaire. Victor actionne la machine. Nos chevilles se mettent à vibrer, entrainant notre corps dans une danse ondulatoire transversale qui n’est pas sans rappeler celle d’un poisson dans l’eau. C’est le Chi, notre énergie vitale qui, libérée, se met à circuler dans tout le corps. Peu à peu, on sent un relâchement notable des tensions musculaires et dorsales. Après une séance, l’effet de bien-être est évident.

Le froid extrême, c’est bon pour la santé

Ce sont les Japonais qui ont découvert la cryothérapie pour le corps entier et séduit les sportifs de haut niveau. Le principe est simple : le froid attaque le corps qui, en réponse, va déclencher des molécules anti-inflammatoires et secréter des endorphines qui produisent une sensation de bien-être. Après 1 séance de cryothérapie, les douleurs tissulaires et musculaires sont déjà soulagées. Tout le monde n’est cependant pas fait pour cette pratique. Victor prend notre tension et nous soumet à un questionnaire médical qui recale notamment les personnes sujettes à l’hypertension, aux problèmes cardiaques et les femmes enceintes. Une fois déshabillé, on rentre dans la cabine, la tête à l’extérieur, pour trois minutes (un maximum) de froid extrême à -150 voire -190 pour les plus téméraires. Restons honnête, dans la cabine, il fait incontestablement froid mais l’air est sec et c’est gérable, bien plus qu’un mois de janvier sous la flotte ! Dans cryothérapie il y a thérapie/ thérapeute : Victor surveille l’expérience pendant que s’écoulent les trois minutes. Sa présence nous rassure, on dialogue, il ne reste que 30 secondes. C’est terminé. On se surprend à rire – la production d’endorphines déclenche il est vrai une certaine ivresse. On ne va pas s’en plaindre. « Certains deviennent accro à la cryo ! ». On les comprend.

Et pour raffermir, rides ou double-menton ? Energy wave propose la cryothérapie ciblée qui dirige, à l’aide d’un stylet, un souffle d’azote à – 110 °C vers des zones précises. 15 minutes qui se soldent par un effet tenseur immédiat !


Une expérience spirituelle

C’est incontestablement l’appareil le plus surprenant qui nous a été présenté : Pandora Star, une lampe neuro-stimulante, sorte de douche de lumière pulsée qui va obliger le cerveau à synchroniser les ondes cérébrales sur les fréquences émises par la lampe. Des ondes impliquées dans le lâcher-prise, la méditation, la relaxation, la modification des schémas de pensées. L’expérience est spirituelle et, après une seule séance, résolument déstressante.

Pour compléter son offre santé et bien-être, Energy Wave propose également un Float Tank (une coque pleine d’eau salée au sel Edposm coupé de toute contrainte d’apesanteur, des bruits ou des sollicitations extérieures qui favorise la relaxation et la méditation), un Collarium, boosteur de collagène (une machine qui ressemble à un banc solaire et permet, en quelques séances, d’améliorer l’aspect des rides et ridules du visage et du cou) et, depuis février 2018, des soins corps (massages raffermissant, drainant et relaxant) et visage (micro dermabrasion, détente, détox) avec une gamme de produits bio canadiens (NVE).

Energy-Wave

ENERGY WAVE

Chaussée de Waterloo 1393 – 1180 Uccle
T.: 02/673 30 42

info@energy-wave.be


Elvis-Pompilio

Elvis Pompilio

Messieurs, amusez-vous !

Le vestiaire des messieurs manque bien souvent de surprise. On mise sur les valeurs sûres et passe-partout. Pour une leçon de style, nous nous sommes adressés à Elvis Pompilio, le petit prince du chapeau made in Belgium.

| Par Magali Eylenbosch |

 

Peut-on parler de « mode » pour homme ?

C’est difficile parce que les hommes n’ont plus beaucoup d’audace. Ceux qui en ont se font toujours remarquer et sont remarquables parce qu’ils font la différence. Après les années 80, la rue a pris le dessus. Hors des milieux artistiques, tout est très uniforme. Et puis, aujourd’hui, on « sur-consomme », mais on consomme souvent moins bien. La notion de plaisir a un peu disparu. Avant, choisir un beau manteau était un événement qui avait de l’importance. Maintenant, on l’achète chez H&M, on le porte deux ou trois mois et on le jette. C’est dommage !


Quelles sont les pièces incontournables d’une garde-robe ?

Un beau smoking, un costume en velours et une tenue beaucoup plus décontractée genre survêtement. Et on mixe le tout ! Lorsqu’on porte le pantalon du smoking avec le dessus du jogging, on arrive à quelque chose de très intéressant. Quand on a de belles pièces, on peut tout mélanger. Après, on agrémente avec un petit foulard ou une belle gourmette. Quelque chose de fun !


En matière de couleurs, y a-t-il des diktats?

La couleur est un exercice très compliqué… et très risqué ! Peu d’hommes peuvent s’en emparer. Même un pull, si on le prend dans une teinte parme, c’est ringard. D’ailleurs j’en profite pour dire qu’il y a peu de pulls seyants. Les bords côtes qui soulignent le ventre, c’est une catastrophe ! Personnellement, je ne les achète que chez Prada. C’est cher, mais pour un beau pull en cachemire qui dure des années, ça vaut la peine.


Vous, vous osez les accessoires…

Moi j’adore ça. Je dois porter des lunettes pour travailler et, du coup, j’en ai dix paires. Je n’imagine pas n’en avoir qu’une. J’ai une collection de montres incroyable et j’ai des valises entières de bijoux fantaisie. Un homme peut tout à fait avoir du style en portant plein de bagues ou plusieurs bracelets. Il faut juste savoir comment les porter !

Elvis-Pompilio

Un homme en costume peut-il se démarquer avec un accessoire ?

Bien sûr ! Une belle montre, un beau bracelet, une paire de lunettes originale, une jolie casquette,…. L’accessoire peut changer le style et le rendre plus moderne. Prenons un homme en costume gris et chemise blanche. Si on rajoute une casquette un peu décalée, style années 40 et une belle paire de gants, on arrive à quelque chose d’hyper élégant et de très masculin.


Quelle est, selon vous, une référence en matière d’élégance au masculin ?

Sans hésiter, Pierre Degand. C’est le temple de l’élégance… Il y a tout !


Votre collaboration avec la créatrice de bijoux, Isabelle Lenfant, est particulièrement réussie ?

Chacun de nous a réussi à garder son identité. Dans les volumes, c’est totalement en accord avec ce qu’Isabelle fait habituellement. Et quand on voit ces bijoux, on identifie immédiatement les deux signatures.


Ces bijoux conviennent parfaitement aux messieurs…

Exactement! On a vraiment pensé à tous les hommes. Prenons la petite casquette. Elle peut aussi bien être portée par un rappeur que par un sportif ou quelqu’un de très classique. Il y a des broches, des bagues et on peut même, sur commande, monter les chapeaux en boutons de manchette.


Toujours beaucoup de projets en cours ?

Oui, bien sûr. Je viens de terminer le défilé homme d’Ann Demeulemeester pour lequel j’ai fait les casquettes.


Cette saison, les plus audacieux oseront…

• le pantalon XXL repéré chez Marni et Louis Vuitton • la chemise bowling épinglée chez Balenciaga
• les vestes amples signées Dries Van Noten
…et le bob qui fait un tabac chez Lanvin

Elvis-Pompilio

fesse

Des fessiers à croquer !

Une belle femme est tout en rondeurs… En rondeurs et harmonie. Car il ne faut pas confondre rondeurs et opulence. L’excès nuit en tout. On préfère contempler un paysage subtilement valonné de la Toscane plutôt qu’une étendue désertique et désespérément plate.

 

Déjà dans l’Antiquité, à Syracuse, on vouait un culte à Aphrodite callypige, littéralement Aphrodite aux belles fesses. Aphrodite, la déesse de l’amour. Belles et non pas grosses répétons-le. La statuaire antique représente Aphrodite callypige regardant ses jolies fesses par dessus son épaule. La peinture classique réserve aussi une très belle place à la représentation picturale de cet élément érotique indéniable que sont les fesses.

De belles fesses se caractérisent par une rondeur harmonieuse, un port haut et une fermeté certaine.

Ce triptyque met alors en valeur la cambrure des reins et le galbe des hanches et équilibre de pro l la courbure de la poitrine. Il s’agit donc de proportions tout comme un nez devrait s’harmoniser avec le reste du visage.

L’attrait pour de belles fesses est certainement à mettre en relation avec l’image véhiculée par des stars du showbiz et autres people. Nul ne peut être indifférent à la vue de la chute de reins de Jennifer Lopez, de Beyoncé ou encore de Kim Kardashian. Rappelons-nous aussi le buzz déclenché par Pippa Middleton lors du mariage de sa sœur : elle avait volé ou presque la vedette à la mariée grâce à une plastique irréprochable de son séant. Il est donc clairement établi que les fesses tout comme la poitrine suscitent l’attirance du sexe mâle. Ceci est universel ou presque, car chez les asiatiques, les canons de la beauté tendent davantage vers moins de rondeurs.

En Afrique par contre, le postérieur est un atout majeur dans l’image corporelle des femmes et les chirurgiens plasticiens savent très bien qu’il ne faut pas y toucher pour le réduire !
La chirurgie des fesses n’est pas récente. Elle est pratiquée depuis fort longtemps dans les pays d’Amérique du Sud et, comme toute chirurgie, a bénéficié d’améliorations au cours du temps. A ses débuts, cette chirurgie a été fort décriée et des images parfois effrayantes ont fait la part belle aux détracteurs de ces interventions. On constatait ainsi des infections, des ouvertures de plaies et surtout des malpositions d’implants avec des déformations importantes et inesthétiques.

La vieille Europe a probablement pro té sans le vouloir de ces catastrophes et a pu utiliser le savoir-faire des chirurgiens outre-Atlantique.

Dans notre pays, il est intéressant de constater que la demande des patientes pour une augmentation du volume des fesses est plus forte en Flandre que dans la partie francophone du pays. Notons aussi qu’aux Pays-Bas la fréquence d’augmentation des fesses est très élevée. Il n’y a, à ma connaissance, aucune explication à cet état de fait.

La demande chirurgicale en général devrait également croître du fait de la chirurgie bariatrique ou chirurgie d’amaigrissement. En effet, un amaigrissement de plusieurs dizaines de kilos entraîne invariablement une diminution du volume des fesses ainsi qu’une chute de celles-ci. Ces patientes sont cependant plus souvent préoccupées par leur ventre, leur poitrine ou leurs bras et cuisses avant de penser à leurs fesses.

On peut évoquer deux principes chirurgicaux pour traiter le manque de volume et de fermeté des fesses :
– Le lipofilling (ou injection de graisse) et la mise en place d’implants en silicone.

– Le lipofilling est sans aucun doute une intervention chirurgicale en vogue qui est utilisée aussi bien pour le visage que pour les seins et également pour le postérieur. Pour rappel, cette technique consiste à prélever de la graisse chez la patiente dans un ou plusieurs sites donneurs, sans abîmer ceux-ci et, après manipulation, la réinjecter à distance dans le même temps opératoire.

Cette technique est certainement naturelle, car elle ne fait pas appel à un quelconque corps étranger. Elle est très tendance parce qu’elle évoque le principe des cellules souches, principe plus que séduisant pour le public. Il s’agit bien entendu d’une réelle opération sous anesthésie générale associant somme toute une lipoaspiration un peu particulière à une augmentation fessière. Dès lors on pourrait avancer l’argument de l’opération à double but, à double béné ce. Ceci est exact pour autant qu’on ait un capital graisseux excédentaire autorisant le prélèvement sans causer des dégâts collatéraux ! L’avantage du lipo lling par rapport à la mise en place d’implants est que l’injection de graisse est moins douloureuse, bien que l’on soit parfois désagréablement surpris de la douleur engendrée par les bleus causés par la liposuccion.

Mais, à mon sens, le véritable problème potentiel réside dans la prise trop peu able de la graisse. En effet, lorsqu’on injecte de la graisse où que ce soit et surtout en grande quantité, les cellules graisseuses sont dévascularisées, donc virtuellement mortes, et doivent donc pour survivre être revascularisées. Il s’agit d’une course contre la montre, variable d’une personne à l’autre et plus la quantité injectée est importante, plus le risque de perte est grand. Ainsi on doit informer les patientes qu’une perte de 30 à 40 % du volume injecté est tout à fait normal ! Et qu’une perte asymétrique n’est pas impossible.

Il faut cependant continuer les investigations dans le domaine des cellules souches et des lipofillings, car il s’agit certainement d’un domaine très prometteur pour le XXIe siècle.

L’autre technique d’augmentation fessière consiste à placer des implants en silicone. Ces implants sont assez semblables à ceux utilisés pour les augmentations mammaires. Ils ont cependant une paroi lisse et le gel qui les compose est plus ferme, plus dense. Il existe trois formes différentes: uniconvexe avec la partie postérieure plate (comme les implants mammaires ronds), biconvexe ou lenticulaire et en n anatomique.

Dans la plupart des cas on utilisera la forme uniconvexe. Ces implants sont placés au niveau des muscles grands fessiers, muscles très épais et très puissants, du moins lorsqu’on pratique une activité physique régulière. Par contre, chez les personnes peu sportives, ces muscle s’atrophient, ce qui contribue à une perte de fermeté et de relief des fesses.

Logiquement, comme pour les implants mammaires, on peut imaginer la mise en place des prothèses au-dessus ou en dessous du muscle. Auparavant, celles-ci étaient placées surtout au-dessus du muscle, mais les résultats étaient parfois médiocres avec des asymétries de position, des implants qui bougeaient dans leur poche, des séromes autour des prothèses… L’intervention avait donc mauvaise réputation aussi bien auprès des patientes que des chirurgiens.

Actuellement, la bonne technique consiste à placer les implants dans le muscle grand fessier par une seule petite incision verticale de 6 à 7 cm au sommet du pli interfessier. Cette incision unique permet l’accès aux deux fesses. On va créer une poche juste à mesure dans le muscle en discisant les bres musculaires. L’intervention dure 90 minutes approximativement sous anesthésie générale en chirurgie de jour.

L’inconvénient majeur est la douleur nécessitant un repos important les premiers jours et la prise d’anti-douleurs. Les sports sont proscrits pendant 6 semaines. Il faut dormir temporairement sur le ventre et s’asseoir délicatement sur la partie inférieure des fesses. Une hygiène rigoureuse de la plaie est primordiale pour éviter une infection, de même que la prise d’antibiotiques pendant 7 jours.

On le voit, le décours post-opératoire n’est pas évident et seules les patientes motivées peuvent l’affronter.

L’adage « Il faut souffrir pour être belle » prend ici toute sa signification. Mais à ce prix, les résultats sont vraiment splendides et le taux de satisfaction des patientes est très élevé.

Un bon vin est tout en rondeur, une belle femme aussi. Mesdames, soyez des Aphrodite callypiges et affolez les êtres qui vous entourent par vos courbes grâcieuses.


Dr Thierry Fourez

CABINET PRIVÉ

Avenue des Perdrix, 47 1410 Waterloo
T : 02/268 67 23

CLARIS CLINIC • Dolce La Hulpe Brussels

Chaussée de Bruxelles, 135 B 1310 La Hulpe
T : 02/789 69 00


alain-de-nys

Alain De Nys

Une success-story belge à l’épreuve du temps

Gravées dans ses gênes, les montres sont une passion autant qu’un métier. Entrepreneur dans l’âme, le petit- ls du créateur de Pontiac nous conte son univers d’Alansphil à Breitling, de Bombardier à GMT, à A.D.N.A. 

| Par Ariane Dufourny |


La passion des montres de génération en génération…

Mon grand-père, Ali Kinsbergen, juif hollandais, a créé la marque de montres Pontiac en 1931. Il m’a probablement insuf é le commerce et la création.

A son décès en 1969, ma mère a dirigé la société jusqu’en 1977. En 1978, elle a lancé sa propre ligne « JK », Johanna Kinsbergen, un nom de saga ! Plus tard, elle fondera « TPR », tout problème résolu ! Elle m’a appris tout le métier.


Troisième génération, un parcours chrono…

En 1982, avec mon frère Philippe, nous avons ouvert le restaurant « Les deux frères » à Uccle. Un succès immédiat! De mon côté, je me dirige vers les assurances et mon frère le vendra plus tard à notre serveur, Patrick Roth.

Notre mère nous dit un jour « nous allons refaire une montre». Pas une Pontiac, devenue obsolète, mais une évidence « Alansphil ». Nous avons créé la société en 1986, époque des montres extra-plates, face de lune.

A l’ère de « Top Gun », nous souhaitions un « beau chrono ». Après la foire de Bâle, nous avons contacté « Breitling ». Trois mois plus tard, nous n’avions rien vendu et étions presque en faillite. Ma meilleure vendeuse, c’était ma mère ! Cinq ans plus tard, nous en vendions 17 par jour ! En 2000, la direction met en place des contrats inacceptables. Dégoûté des montres, j’importe alors « Victorinox » mais je sais déjà que travailler pour les autres ne va plus être possible.


Une devise à suivre…

Je suis la devise de ma mère qui a vécu durant trois ans et demi dans des camps de concentrations japonais en Indonésie : « Demain sera toujours meilleur ». En 2003, je décide d’aller chercher le nom « Bombardier », leader de l’aéronautique au Canada. Je les convaincs de fabriquer des montres avec les pros du Jura suisse. Je me suis occupé de la création, de la commercialisation et de la distribution.

« Bombardier » le retour ! Prochainement, un nouveau logo à découvrir sur Instagram et Facebook.


GMT, une montre à l’épreuve de la crise…

En 2010, j’ai décidé de donner un petit frère à « Bombardier » huit fois moins cher. J’ai cherché un nom : « GMT Chronographs ». Il fait référence au sigle Bombardier, à l’heure solaire moyenne au méridien de Greenwich et à GMT+2. C’est également le nom général des montres à deux fuseaux horaires. « GMT », une montre qui a de la gueule à un prix raisonnable (de 250 à 850 euros) !


Une communication clic clac …

Notre génération veut « toucher » à l’inverse de nos enfants qui n’iront plus chez un horloger mais iront acheter leurs montres sur Internet. Dans un monde en perpétuelle évolution, je m’adapte. Je viens de réaliser un crowdfunding sur « Kickstarter » qui cartonne.

alain-de-nys

LES MODÈLES GMT CHRONOGRAPHS

Classic, des chronographes dédiés aux hommes citadins, actifs et élégants : City, City Chrono, Urban, Urban Chrono.

Dynamic, une collection sportive avec des tailles généreuses (cadran jusqu’à 48 mm) pour les hommes ayant un sens de l’aventure : Skydiver, Silversky, Gilder XL, Nemo, Gilder, Bullet, Pilot, Timer.

Vintage 59 (année de naissance de son designer), caractérisé par son verre plat avec une loupe, des boutons poussoirs ronds et tachymètre.

LES NOUVEAUX MODÈLES

GMT Vintage 63 qui se distingue de la 59 par son verre bombé à l’ancienne en plexi : Frank, Jo, Jack, Vito, Al, Bob.

GMT Commander et la GMT Para-commando réservé aux détenteurs des brevets Commando et Parachutiste belges (sortie mai 2018).

“ JE CRÉE DES MONTRES, JE TRAVAILLE DANS LA DISTANCE.

 

D’ADN à A.D.N.A. …It’s time for you

J’ai conçu 1.500 montres avec un bracelet en silicone et logotisé « GMT Chronographs » pour une soirée organisée par mon ls. En prévente, elle permettait d’accéder à la soirée. 750 personnes à la soirée et 1.500 montres vendues : un constat, les gens voulaient cette montre !

Par la force des choses, j’ai lancé la montre « ADN Watch » doté d’un bracelet en silicone interchangeable.

Entre temps, j’ai rencontré Aline de Vestel qui souhaitait créer une collection pour enfants. J’ai dessiné les modèles et nous avons lancé « A.D.N.A » (adn en français et dna en anglais) qui se prononce adna. Pour petits et grands, elle existe en trois modèles (Time for you 42, Chrono 51 et XXL 57) qui se clipsent dans le bracelet décliné dans une large gamme de couleurs. Le côté interchangeable permet de diversifier les couleurs au gré de vos envies.


« A.D.B. Watch repair service »

Avec Internet, on perd le contact. Ma mère disait que le service après-vente est plus important que la vente elle-même. Du changement de pile à l’entretien complet, en passant par un nouveau bracelet, nous nous occupons de tout quelle que soit la marque (je viens de recevoir mon premier coucou à réparer). Vous ne connaîtrez jamais, la désagréable surprise d’une lourde facture !


Une quatrième génération à suivre…

Ils ont un projet de montre pour cette année ! Nicolas très créatif est sorti de « Saint- Luc », Robin qui a été à l’« Ephec » comprend tout en trois secondes. Ils sont très différents mais complémentaires. Avoir deux enfants qui s’entendent et réalisent quelque chose ensemble, c’est le rêve de tout parent. C’est celui qu’avait réalisé ma mère !


La montre idéale…

« GMT », « Bombardier », « A.D.N.A. ». J’ai trois marques où je peux contenter 95 % des gens, sauf ceux qui ne veulent pas de montre !


Johanne-riss

Johanne Riss

Bruxelloise de cœur, la créatrice française est reconnue pour ses décolletés glamour. Installée dans le quartier du Grand Sablon, elle nous ouvre les portes de sa maison décorée à l’image de sa griffe. Sobre, épurée, intemporelle et ultra-féminine.

| Propos recueillis par Ariane Dufourny |


Votre style en quelques mots…

Pur, sensuel, féminin !


Créatrice, une vocation…

J’ai commencé dans la mode à seize ans et je me suis prise au jeu. Apprentie-vendeuse, étalagiste, import-export ! A mes trente ans, j’ai eu envie de créer ma collection, Johanne Riss.

Au départ en 1988, j’étais installée rue Léon Lepage, une petite boutique avec deux machines en sous-sol. Je proposais une collection de loisirs avec des mousselines de soie que je vends toujours, portées avec une robe du soir. Très vite, on m’a demandé une robe de mariée et j’ai mis au point un concept qui a déclenché ma renommée.

Après un an et demi, je me suis installée dans un énorme loft place du Nouveau Marché aux Grains. Il y a deux ans, j’ai déménagé dans cette jolie maison de maître, rue Ernest Allard au Sablon. Je me suis faite aider par Lionel Jadot pour cette décoration que j’adore.


La première robe que vous avez créée…

En 1990, on m’a demandé une robe de mariée avec le « dos nus » de Mireille Darc et le chapeau de Manon des Sources.


Vos matières de prédilection, vos décolletés…

Des tissus lycra qui suivent le corps, le mouvement. J’adore la danse dont je me suis beaucoup inspirée ainsi que de l’épurement des Japonais.

Dans ma collection, il y a toujours des dos nus car je suis reconnue pour ce décolleté.

Je propose du prêt-à-porter, de la demi-mesure et du sur-mesure. La cliente choisit la forme, la longueur, le décolleté parmi une quinzaine dont le ras-du-cou, l’indien, l’hollywoodien, l’américain, le bateau…

Les créateurs qui ont in uencé votre vision…

Chanel, Comme des Garçons de Rei Kawakubo et Alaïa.


Vos best-sellers…

Le dos nu « goutte d’eau », le grand « V », dans plusieurs déclinaisons avec de la dentelle, du tulle, des broderies.

La production de vos créations…

Tout est fabriqué en Belgique dans notre atelier. Les robes « ras-du-cou » et en « V devant » sont en stock dans toutes les tailles de façon à ce que la cliente puisse essayer un modèle. On lui montre les tissus, les nombreuses couleurs, les décolletés et on réalise dans les dix jours, le modèle choisi dans sa taille.

Pour les robes de mariées et spéciales, il faut prévoir six mois comptant les différents essayages.

Nous proposons les collections « soir », « jour » composée de robes courtes, de pantalons, de vestes et de la maille, « loisirs », « maillots de bain » et des djellabas imprimées en soie qu’on porte en soirée à Ibiza et Saint-Tropez.


Vous habillez les artistes…

Isabelle Hupert, Virginie E ra, Viktor Lazlo…On a fait le buzz aux «Magritte du Cinéma » en habillant Salomé Richard qui a remporté le « Meilleur espoir féminin ». Elle portait un short rouge et un top en dentelle transparent qui laissait apparaître sa poitrine. On a habillé Blanche pour l’ « Eurovision », une robe portée sur le tapis rouge et l’autre sur scène.


Votre vision de la femme…

Emancipée, féminine, active


Le dressing idéal de la femme active…

Ma collection ! Les femmes qui voyagent, qui travaillent, adorent mes tenues car elles ne se froissent pas, peuvent se laver à 30 degrés en machine et ne doivent pas se repasser. Féminine à vivre, avec les mêmes pièces, on peut être « sport » avec des baskets ou « habillé » avec une mousseline de soie au-dessus, des talons et des bijoux.

“ LES HOMMES AIMENT ÉGALEMENT MES ROBES CAR ELLES SONT SENSUELLES À L’ŒIL MAIS ÉGALEMENT AU TOUCHER.

JOHANNE RISS

Rue Ernest Allard, 25 – 1000 Bruxelles T : 02/513 24 75

johanneriss@johanneriss.com
www.johanneriss.com


monsieurmaison

Monsieur Maison

L’hiver pointe son nez !

Jouez le chic en revendiquant l’« anti-fast-fashion » à l’instar du designer-artisan, Emmanuel Demuynck. Acteur de la mode belge depuis trente ans, il réalise des vêtements prônant le cocooning version séduction nonchalante.

 

| Par Oriana Gavi | ©Monsieur Maison |

Adepte de la slow fashion, on peut décrire les créations d’Emmanuel Demuynck comme des histoires uniques teintées d’une poésie mêlant harmonieusement éthique, audace et élégance.

L’art et la matière

Laines de soie, mélanges cachemire et coton ! Le créateur, féru du up-cycling, crée ses collections à partir d’étoffes luxueuses rachetées à de grandes maisons de couture parisiennes.

Kimonos, kaftans et robes d’intérieur, on adore ! Monsieur Maison propose une collection unisexe d’homewear glamour, d’écharpes luxueuses et sensuelles mais également des plaids et des coussins déclinés dans des tissus haute couture.

En édition limitée, chaque pièce est fabriquée dans des ateliers belges garantissant un travail manuel traduisant la qualité et la durabilité, valeurs chères au designer belge.

Cet hiver, place au slumberwear version eighties

Motifs graphiques mariés aux imprimés fleuris, noir & blanc et tonalités rétros, le ton est donné ! Monsieur Maison décline une collection inspirée du Ska rendant hommage aux « The Specials » et à « Madness ».

De surcroît, le styliste collabore à présent avec une entreprise artisanale fabriquant de la laine des Pyrénées. Une laine légère et réconfortante, mélangée à 30 % de coton doux et utilisant des teintures certifiées écologiques. On se pare de la veste courte « Gabrielle Chanel » à capuche, d’une djellaba, d’un long cardigan ou d’une longue écharpe à poche. Résultat : la maille épouse la peau comme une mousse bienfaisante.

 

MONSIEUR MAISON

Belgian designer Women’s & men’s rtw

www.monsieurmaison.be


Serneels

Il n’y a pas d’âge pour jouer, s’amuser et rêver.

Depuis 1959, ce magasin de jouets féériques illumine le regard de tous. Situé dans le prestigieux site du début de l’avenue Louise, mitoyen de l’hôtel Wiltcher’s Steigenberger, ses portes s’ouvrent sur un univers onirique où règnent des chevaux à bascule, des poupées, des ours en peluche, des marionnettes et tant d’autres jeux et jouets qui feront rêver et jouer les petits et les grands.

| Par Ariane Dufourny |

 

Il était une fois, La Maison Serneels…

En 1945, Edmond Serneels, artiste dans l’âme et passionné de jouets, entre chez « Bois Manufacturé » petite manufacture située à Anderlecht et qui fabriquait des articles en bois. Sa détermination à développer des jouets artistiques et didactiques l’emmène à New York où on le charge de trouver de belles idées. Il y rencontre Monsieur Fisher et Monsieur Price qui vont changer sa vie ! En 1959, il concrétise son rêve d’enfant et ouvre son magasin de jouets Avenue de la Toison d’Or. En 1980, ses deux enfants, Alain et Brigitte reprennent le ambeau familial et déménagent, en 1993, aux côtés d’une autre institution, l’Hôtel Conrad à l’époque.

Rencontre avec Brigitte Serneels

Une histoire de famille qui se perpétue…

En effet, mes enfants sont fort intéressés à la reprise de la Maison Serneels car, à l’image de mon frère et moi, ils sont tombés dedans quand ils étaient petits. Nous sommes tous des passionnés et c’est très agréable de travailler dans sa passion.

Votre philosophie…

Nous trouvons dans le monde entier des jouets qui sont fabriqués avec une éthique, qui respectent la nature et développent le sens du goût chez l’enfant ainsi qu’une véritable émotion. Que ce soit une poupée, un ours, un théâtre de marionnettes, un château fort avec des petits soldats, transmettre cette émotion quand l’enfant devient à son tour parent est exceptionnel !

Qu’est-ce qui vous distingue des autres magasins de jouets ?
Nous offrons un large choix d’articles pour tous de 0 à 99 ans. Nous proposons des jouets de qualité réalisés dans de belles matières qui se patinent par le temps et par le jeu de l’enfant. Nos jouets se transmettent de génération en génération.

Toutefois, nous proposons un service de réparation ; si cela doit arriver dans certains cas, il est préférable de réparer plutôt que de jeter. De plus, nous conseillons pour que votre choix soit le meilleur.

Avis aux collectionneurs et aux nostalgiques…

Nous avons des répliques d’avions, de bateaux, de voitures mythiques toutes fabriquées avec beaucoup de talent. Toute l’histoire de la marine, de la navigation maritime et automobile se retrouve dans nos vitrines. Nous travaillons depuis presque 40 ans avec un artisan français qui nous fabrique des backgammon exceptionnels dans de très belles matières. Un artisan belge nous fabrique des soldats en plomb, un autre des coffres à jouets, des pièces uniques, des œuvres d’art. C’est en Angleterre que nous trouvons les plus beaux chevaux à bascule ainsi que de magnifiques animaux en cuir et en Allemagne que proviennent la plupart des jouets en bois.

Membre du « Brussels Exclusive Labels ». Votre ressenti…

C’est une reconnaissance. Mon père a fait partie du « BEL » depuis la création de la Maison Serneels, depuis bientôt soixante ans. Nous sommes un des plus anciens membres. J’y ai été trésorière et membre du conseil d’administration. Il y a une volonté de sélection des membres au niveau de la qualité qu’ils offrent, tant du service, que des produits, que du sens artisanal. Nous faisons également partie des « Fournisseurs brevetés de la Cour de Belgique ».

D’après vous, quel est le jouet parfait ?

C’est celui que tu ne quittes pas, que tu ne veux pas lâcher, que tu ne veux pas oublier, que tu ne veux pas donner, que tu vas garder dans ton petit cœur d’enfant en devenant adulte.

 

SERNEELS

Avenue Louise, 69 – 1050 Bruxelles T. : 02/538 30 66

info@serneels.be
www.serneels.be


Vilebrequin

Vilebrequin

De St-Trop à Courch ! Soyez glam sur les pistes comme au spa ! La collection Ski Resort séduira les amoureux de la montagne en affichant des imprimés jet-set inspirés des années 70.

| Par Oriana Gavi |

 

Naissance d’une icône

1971. Attablé à la terrasse de chez Sénéquier à Saint-Tropez, Fred Prysquel, photographe et journaliste sportif, s’amuse à découper un short de bain dans la nappe à carreaux en papier.

Son épouse, tenant une boutique multimarques branchée en ville, l’aide à réaliser le modèle en tissu inspiré des maillots des surfeurs. Le portant à la plage, les imprimés du prototype amusent ses amis qui souhaitent acquérir le même maillot.

La marque Vilebrequin, dont le nom fait écho à l’univers viril de la mécanique, lance le modèle baptisé « Moorea » depuis constamment réactualisé dans ses couleurs et ses motifs. Séchant vite au soleil, ce nouveau boxer-short, élégant et décontracté éclipse le traditionnel slip de bain.

 

Une succes-story

En 1991 un autre tropézien, Loïc Berthet, spécialisé dans la mode masculine, reprend l’affaire et actualise les coupes en les équipant d’un slip intérieur en coton, d’une poche arrière sécurisée par une bande Velcro, d’œillets en Zamak inoxydable.

1995 est marqué par le concept « tel père, tel ls » en élargissant la gamme adulte aux enfants.

40 ans en 2011. Un anniversaire où la marque haut de gamme de costumes de bain s’engage dans la protection des tortues de mer menacées d’extinction, en soutenant la Fondation Plant A Fish de Fabien Cousteau.

En 2012, celle qui fut une petite affaire familiale est rachetée par le groupe américain G-III Apparel, déjà à la tête des lignes Calvin Klein, Guess et Tommy Hilfiger.

Cette spécialité tropézienne est vendue dans une cinquantaine de pays.
De New York à Bruxelles, été comme hiver, Vilebrequin s’impose comme essentiel chez les businessmen.

 

A nous les whites enneigés

Quelle que soit la saison, Vilebrequin vous invite à rayonner à travers une collection archi- esthétique.

Inspirez-vous des imprimés alpins des seventies a n de briller sur les pentes enneigées comme autour de la piscine chauffée de votre hôtel.

Les maillots de bain s’entrecroisent avec prestance avec les essentiels de prêt-à-porter vous assurant une pause hivernale sexy-chic !

 

VILEBREQUIN

www.vilebrequin.com


tudor

Tudor

Audace. Originalité. Modernité.

Trois mots pour définir cette montre exceptionnelle, née pour oser à l’instar de son ambassadeur, l’icône David Beckham. #BornToDare !

| Par Nicolas De Bruyn |

 

“ Joue-la comme Beckham »

Une phrase qu’on énonce comme un dé et qui en dit long sur le talent de David Beckam qui a tout entrepris a n de réaliser son rêve d’enfant : « Je veux devenir footballeur ». Ambassadeur de bonne volonté de l’Unicef, au terme de sa carrière sportive, il n’écoute que lui et ne cesse d’insuf er l’espoir au travers de ses activités humanitaires.

Par ailleurs mannequin, il a imposé son style sans aucune concession tout comme la montre Tudor, toujours prête à réécrire les règles.

En 1946, Hans Wilsdorf, fondateur de Rolex se lance le dé de fabriquer des montres plus accessibles. Devenue aussi emblématique que sa sœur, la marque horlogère suisse Tudor s’est imposée grâce à sa mécanique sophistiquée, sa abilité, son rapport valeur/qualité. Conçue pour résister aux conditions les plus extrêmes, elle en est devenue incontournable !

Amoureux des montres, le légendaire footballeur est séduit : « L’esprit d’aventure qui la caractérise, son rôle pionnier dans la plongée sous-marine, les expéditions audacieuses auxquelles elle a participé. J’ai été conquis sur le champ».

Passionné de sport automobile et de plongée ? Vous apprécierez comme lui la Black Bay Chrono, chronographe polyvalent avec calibre Manufacture et roue à colonnes ou la Black Bay S&G, montre de plongée d’inspiration vintage en acier et or.

Le gentleman footballeur assure par son style et son élégance. « Un Anglais apprécie tout particulièrement un beau costume et une belle montre. Les deux vont de pair ».

Au cours de son histoire, les montres Tudor furent portées sur terre, dans les airs, sur les glaces et sous l’eau, au poignet d’hommes audacieux. Etes-vous né pour oser ? Comment affichez-vous votre Black Bay, North Flag, Pelagos, Glamour ou Style ?

 

TUDOR

www.tudorwatch.com


saintlaurent

Yves Saint Laurent

Rebelle et sensuelle sous les feux des projecteurs ! L’intensité d’un Rouge à lèvres, la brillance d’un Gloss, la tenue et légèreté d’une Encre à lèvres.

Le vernis à lèvres iconique d’Yves Saint Laurent s’impose incontournable ! # MYLIPVIBES

| Par Bella Shtag |

 

Yves Saint Laurent, passionné par la beauté des femmes

Né en 1936 à Oran en Algérie, le légendaire créateur se passionne pour la mode et commence sa carrière chez Christian Dior à Paris. A 21 ans, il devient le plus jeune grand couturier au monde.

En 1961, il crée la Maison Yves Saint Laurent en association avec son ami Pierre Bergé. Le peintre Adolphe Mouron, dit « Cassandre » dessine l’emblématique logo, trois initiales entrelacées devenues synonyme de luxe et d’élégance.

Il marque son empreinte à travers des créations devenues cultes, le smoking pour femme, la saharienne, le caban.

A la pointe des tendances

Son premier parfum « Y », en 1964, marque son entrée dans l’univers des cosmétiques. En 1971, il pose nu et incarne la publicité de « YSL pour homme ». L’impertinence du chic parisien !

En 1977, le parfum « Opium » s’inspirant des inrôs, petites boites japonaises dans lesquelles les Samouraïs plaçaient des herbes médicinales, est selon Yves Saint Laurent « le parfum des noces du réel et de l’irréel ». Quarante ans plus tard, il reste éternel, envoûtant et destinée aux séductrices assumées.

Féminin ou masculin, les parfums Yves Saint Laurent sont des références inéluctables comme la « Nuit de l’Homme », « Black Opium » ou encore « Mon Paris ».

1978, naissance du maquillage YSL

« Il fallait un visage à la femme que j’habille », Yves Saint Laurent innove sa première ligne de maquillage ! Des virtuoses du make-up collaborent à sa création à l’instar de Lloyd Simmonds, Terry de Gunzburg ou Tom Pecheux, le nouveau directeur artistique maquillage de la marque. En 1993, le groupe Yves Saint Laurent cosmétique est cédé à Sano Beauté, en 1999 à François Pinault et depuis 2008 a été acheté par le groupe l’Oréal, propriétaire des plus luxueuses institutions cosmétiques actuelles.

Les égéries

Kate Moss, Vincent Cassel, Garrett Hedlund, Vinnie Woolston, Marine Vatch, Mélanie Thierry, Clara Delevinge, Zoé Kravitz… Des visages, des personnalités, des icônes à l’image d’une marque de cosmétiques innovants à la pointe du glamour.

La nouvelle muse Staz Lindes, mannequin, guitariste rock du groupe The Paranoyds et lle de Hal Lindes, guitariste du groupe de Dire Straits, insuf e la passion du vernis à lèvres signé YSL.

Le vernis à lèvres

Fusionner le rouge à lèvres et le Gloss ! En 2012, la Maison Yves Saint Laurent réussit où les autres grandes marques de cosmétiques ont échoué et lance son vernis à lèvres. Cette laque totalement innovante a été créée pour YSL par Lloyd Simmonds. Une formulation inédite contenant un polymère extra-résistant utilisé dans l’industrie agro-alimentaire pour enrober et faire briller les bonbons !

2017, la légende des lèvres à couper le souf e est de retour ! Sous ses allures de acon pour vernis à ongles, la formule iconique forme un lm durable de couleur lumineuse et longue tenue. Le produit appliqué, les courbes des lèvres intensi ées glissent avec douceur l’une contre l’autre. Vibrations assurées !

www.yslbeauty.fr