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Camille Mazuin - Fast Belgian girl 


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SMILE - Octopus fait re-courir les enfants amputés


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Porsche Centre Brussels - La passion automobile comme objectif


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Esteban Muth Fournisseur officiel du DTM

Sans se pousser du col, ce jeune Belge de 19 ans a vu sa Lamborghini Huracan de compèt se faire décorer par l’artiste Delphine de Saxe Cobourg. Rien n’est laissé au hasard pour ce rookie qui se démarque déjà dans le très relevé championnat DTM.

Au volant de son « Art Car », une voiture de course décorée comme celle créée par Warhol ou Lichtenstein à une autre époque, le Bruxellois a réussi à se faire un nom lors de la manche belge de ce championnat à Zolder. Dans cette cage aux lions de haut niveau, Esteban est déjà affublé par ses prestigieux concurrents d’un surnom qui en dit long : « the overtaker », littéralement le « dépasseur ». Judicieux puisqu’il est le seul de la bande à avoir effectué autant de dépassements en course. Peut-être est-ce la robe de son bolide qui lui a donné des ailes ?

 

« Never give up », sans équivoque

Esteban peut être content : « l’œuvre « Never Give Up » correspond tellement bien à mon parcours. Il y a quelques mois, je me demandais de quoi mon avenir serait fait en sport automobile. Rien ne semblait se dessiner. Puis il y a eu une étincelle providentielle et, après quelques péripéties, me voilà au volant d’une Lamborghini Huracan en DTM, l’un des championnats les plus prestigieux en sport automobile. Jamais je n’ai cessé d’y croire. Jamais mon entourage et moi n’avons abandonné. C’est le message que cette Art Car veut faire passer ! »

Un fameux soutien de Delphine de Saxe Cobourg aussi : « On ne peut pas dire que je sois une véritable fan de sport automobile, mais je suis heureuse de pouvoir accompagner Esteban et son entourage dans ce projet. Quand ils m’ont contactée, j’ai été touchée par leur motivation et leur volonté. Ce « Never Give Up », c’est clairement leur leitmotiv. »

Une belle histoire de pugnacité belge en tout cas puisque ce projet réunit l’unique pilote belge du plateau, une artiste belge, le Circuit Zolder et Lamborghini Brussels.

Depuis, Esteban Muth a poursuivi son ascension dans ce championnat DTM avec de très beaux résultats, notamment sur le fameux Nürburgring puisqu’il finit cinquième d’une manche. De bon augure.

On peut suivre Esteban Muth sur les réseaux sociaux.

 

L’expérience ultime : la Lamborghini Huracan EVO

Lamborghini évoque inévitablement des automobiles ultra-sportives. Conduire une Lambo est une expérience fantastique que l’on débute en comprenant son design aux faces acérées comme les ailes d’un rapace. En déclinaison de route, celle d’Esteban Muth développe 610 chevaux dans sa version propulsion, appelée RWD. Son fabuleux moteur V10, visible à travers le plexi juste derrière les sièges émet un son envoûtant. Mais avant de l’entendre, il faut d’abord « descendre » dans le cockpit, puis soulever le clapet rouge central avant d’appuyer sur le starter. C’est déjà magique.

Voici alors une automobile qui hurle son envie de « faire du circuit ». En changeant un curseur au volant, on peut d’ailleurs passer en mode « Sport » ou même « Corsa », ce qui la rend encore plus bestiale. Associées à des accélérations de 3,3 secondes au 100 km/h, les sensations sont stratosphériques, très rares dans le monde automobile.

 


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La réserve Mahy L’héritage extraordinaire mis en valeur

Une vaste rangée de halls d’usine dans un paysage vallonné du Hainaut belge.

Un site où plus rien n’est fabriqué, hormis de l’histoire. C’est là que flotte l’odeur de rouille et d’huile moteur d’une gigantesque collection d’automobiles. Le temps d’une expo, une quarantaine d’entre elles sont visibles, dans leur jus à Gand ! C’est l’histoire de la famille Mahy.

Dans la poussière de la « réserve Mahy » se trouvent des centaines de voitures, pare-chocs contre pare-chocs. Certaines crânement appuyées sur des chandelles, la plupart affaissées sur des pneus fatigués. Bolides légendaires, banales autos familiales, grosses cylindrées fringantes et quatre-roues oubliés, comme autant de témoignages de l’histoire.

Voilà la raison d’être de la famille Mahy de Gand, trois générations de collectionneurs obstinés qui ont réuni une des plus grandes collections au monde de voitures anciennes. On parle de 1000 engins !

Une histoire sur quatre roues

Tout a débuté avec Ghislain Mahy, le grand-père, c’est lui qui, à 24 ans, a quitté ses parents pour être vendeur de voitures à Gand. Un des premiers à cette époque, en 1931. Plus tard, il ouvre aussi un bureau de location de voitures à Bruxelles, et d’autres garages.

Progressivement, juste après guerre, le virus de la collection apparaît. Grâce au rachat et à la transformation du cirque d’hiver de Gand, Ghislain a plus de place. Il y aura jusque 400 voitures de collection en 1963 !

Ses fils, Ivan et Hans, s’amusent avec un véhicule allemand amphibie récupéré alors que leur père achète un joli lot de Jeep américaines revenu d’Allemagne en train.

Importateur éclairé, Mahy devient le principal, pour ne pas dire le seul vendeur de voitures de la ville du nord.

Et les fils suivent évidemment leur père. Adolescent, Ivan accompagne régulièrement son père en France, en quête d’acquisitions pour sa collection qui ne cesse de s’agrandir. Et dès que la loi l’autorise, il part tout seul ou en compagnie d’un copain sur la banquette aux ressorts raides de la camionnette Renault récupérée quelque part par son père. Entraînant deux remorques vacillantes derrière lui, le camion se fraie un chemin jusque dans les endroits les plus reculés de Belgique, de France et de Suisse pour rentrer invariablement chargé
de véhicules d’avant-guerre.

Bien des années plus tard, 230 pépites rutilantes sont exposées à l’Autoworld à Bruxelles. Le reste, c’est la fameuse réserve, est entreposé à Leuze-en-Hainaut par Ivan. Juste à côté d’un musée de belle taille, le Mahymobiles.

Des images et un lieu

Et voilà qu’apparait aujourd’hui cette exposition temporaire, à Gand, comme aux origines. Il est porté par Michel Mahy, petit-fils de Ghyslain et par Wouter Rawoens, photographe et âme créative. « L’idée a été de sortir des voitures de la réserve. Ce sont des voitures qui sont dans leur jus. Elles ont une histoire. Elles ne sont pas restaurées. On voit bien leurs cicatrices. Et moi, j’ai voulu les mettre en évidence dans un studio photos immaculé. C’est le contraste qui m’a plu. »

Mais comment choisir les heureuses élues ?

« C’est surtout Michel (NDLR : Mahy) qui les a choisies, en fonction de leur popularité, de la marque, de leur rareté et de leur histoire. Après, on a joué à Tetris dans les dédales de la réserve pour les sortir. Une vraie caverne d’Ali Baba. Nombreuses sont les voitures qui ne roulent plus. C’est amusant mais on les a même transportées dans des camions fermés pour garder la poussière d’origine dessus. » Il fallait y penser. Dans l’expo de Gand, on verra par exemple une vienne Porsche 356 B et ses traces de pattes, ou une magnifique Delahaye toute rongée.

Quatre ans de réflexions et deux ans de préparation pour cette expo de voitures anciennes, mais pas que…

« Il y a des endroits pour les voitures, et des endroits pour apprécier les photos. Les tirages sont d’une exceptionnelle qualité. Cela rend vraiment bien.  »

Les anciens bâtiments Vynckier de Gand, dans leur jus aussi, sont parfaits pour cette expo soutenue par la Fondation Roi Baudouin via son Fonds Lemay. Et les photos sont éditées par Lannoo sous le nom de « Mahy, a family of cars ».

La Maserati A6G 2000 GT Allemano de 1954

« Mahy, A family of cars, la beauté tranquille d’oldtimers d’exception », extrait du livre : « Ghislain Mahy n’a jamais été un grand amateur de voitures de sport italiennes, encore moins de celles d’après-guerre. Un jour, un garage de Zelzate lui propose une Maserati, un modèle exceptionnel d’après le
vendeur. Mais l’argument ne convainc pas Ghislain Mahy. Trop cher et trop contemporain : avec la mention 1954 comme année de construction sur les documents, la Maserati a à peine 5 ans. Et Mahy ne connaît pas cette marque. Mais le père Mahy en parle en passant lors d’un déjeuner dominical en famille, éveillant sur-le-champ la curiosité de son fils Ivan. Ne pourrait-il pas y jeter un coup d’œil ? Pourquoi pas ?».


Un livre mais aussi une exposition

« Mahy, A family of cars, la beauté tranquille d’oldtimers d’exception », un livre à collectionner mais aussi une exposition à découvrir jusqu’au 31 octobre 2021.

Anciens bâtiments Vynckier
Nieuwevaart, 51-53
9000 Gand

www.expo-mahy.be


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En rallye avec Nafissatou Thiam

C’est au volant d’une Polestar que Nafissatou Thiam a participé au Zoute Grand Prix. Be Perfect y était. Notre double championne olympique d’heptathlon apprécie les découvertes de la modernité et sa vie à Liège. Interview express.

BePerfect : Nafi, vous voilà à Knokke pour participer à un rallye, l’automobile vous attire ?

« Je suis curieuse en général, je ne suis pas spécialiste automobile mais j’aime les nouvelles découvertes. J’aime voyager. Je le fais d’ailleurs dès que je peux, souvent avant la saison. Au début du championnat, je visite aussi. »

Toujours pour revenir à Liège ?

« Ma vie est à Liège, ma famille est à Liège. C’est chez moi, c’est ma maison. »

Liège est gourmande, ça vous parle ?

« Oui, moi, j’aime les boulets (NDLR sauce lapin) mais je n’en mange que très rarement évidemment. Par contre, je n’aime pas les lacquemants. Il sont très sucrés. »

Vous avez tout gagné, jusqu’aux médailles olympiques, quelle impression cela fait-il d’être la meilleure du monde et avez-vous de nouveaux objectifs ?

« Je suis contente, très contente. Je veux encore aller le plus loin possible, étape par étape. Je veux encore progresser. »

Que représentent vos entraînements ?

« Cela dépend du programme. En général, c’est 2h30 par jour et ça augmente jusqu’au double en pleine période. »

Pourquoi avoir choisi l’heptathlon ?

« Ce que j’aime, c’est la diversité. Ce sont les choses qui changent. En hepta, Ca change tout le temps. Les entraînements sont tous différents, les compétitions sont variées. »

On imagine que votre taille, 1,86 mètre, est un avantage en saut ?

« Pas toujours, en hepta, certaines sont fines, ou rapides. Les épreuves différentes permettent à toutes de s’exprimer. Et quand les difficultés arrivent, il faut les dépasser, se surpasser. »

Et votre meilleur défaut serait ?

« Je suis têtue, ce qui est une qualité en fait! »

Quels sont les sportifs belges que vous appréciez ?

« J’aime bien les basketteuses belges, (NDLR : Belgian cats). Je les ai rencontrées à Tokyo. Et Nina Derwael est très chouette aussi. Elle a de belles qualités humaines. »

 

Et elle est aussi championne olympique!

 


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Charles Weerts, la pépite aux anneaux

Plus jeune champion du GT World Challenge l’année dernière, l’Aubelois de 20 ans est monté d’un cran cette année pour devenir pilote officiel de la marque aux anneaux, Audi, à tout juste 20 ans !


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Nigel Bailly, l’humilité ambitieuse

Quand on a la course dans le sang, l’esprit de compétition ne disparaît jamais. Même lorsqu’un accident handicape lourdement son physique. Aujourd’hui, le passionnant Carolo Nigel Bailly se prépare à prendre le volant des prochaines 24 heures du Mans. Rien que ça !

La course sur quatre roues, c’est un peu un retour aux sources pour Nigel Bailly. « J’ai découvert le karting pendant les vacances dans le sud de l’Espagne, en 2003. Ca m’a plu tout de suite. Je faisais aussi du motocross et en avril 2004, je suis resté cloué dans une chaise, paraplégique, après une chute à moto. » Et pourtant, à 14 ans, deux mois et demi après son terrible accident, Nigel était déjà assis dans un baquet de karting. Avec une volonté intacte et le courage des meilleurs.

L’épopée rêvée

Ses études supérieures terminées et après quelques mois de recherche de boulot infructueuse, la passion de la course reprend le dessus. « En 2016, j’ai décidé de me consacrer pleinement à mon rêve, mais sans vraiment d’expérience. Je suis allé passer des tests au Mans dans l’écurie de Frédéric Sausset, SRT 41. J’y allais sans stress et sans trop de conviction, en me disant que je passerais une bonne journée au volant de belles voitures. Et à ma grande surprise, j’ai été repris dans l’équipe. » La structure créée par Frédéric Sausset, portant lui-même un lourd handicap, a pour objectif d’amener des pilotes en situation de handicap à participer aux 24 heures du Mans. L’épopée de Nigel pouvait commencer.

« Le Mans, c’est le Graal de la course automobile. C’est un rêve qui va aboutir cette année, les 21 et 22 août. C’est une aventure humaine extraordinaire pour moi. C’est vraiment ce que je recherche. Je travaille activement avec mes partenaires, humblement pour y arriver. »

Toujours à la recherche de nouveaux contacts, Nigel prône de belles valeurs : « ce que nous voulons faire, c’est amener des pensées positives, un message positif à tous. Nous voulons montrer que tout le monde peut arriver à piloter une voiture de course. Que rien n’est impossible. » Et quelle voiture, on parle ici de la catégorie LMP2, des voitures de course de 930 kilos pour 560 chevaux. « Ca donne un excellent rapport poids/puissance. C’est un peu la Rolls des courses d’endurance. » Et en plus, pour les trois pilotes de cette voiture aux futures 24 heures, les commandes sont accessibles au volant pour les pilotes à mobilité réduite, tout est relatif !, et aussi grâce aux pédales « standard » pour le pilote sans handicap.

Un Belge de plus aux 24 heures du Mans

Avant cette fête de la vitesse, Nigel participera à deux courses préparatoires aux 24 heures du Mans, notamment en avril à Barcelone, et toujours avec la tête froide. « Je connais mon niveau, je sais où j’en suis », dit-il humblement. « Nous ne gagnerons pas l’épreuve mais y participer est déjà formidable. Il faut vraiment aborder cette course avec un immense respect. »

Pas trop de modestie quand même : Nigel sera le 105e pilote belge dans la grande histoire des 24 heures du Mans. Et la Belgique, il en est très fier. Son nouveau casque porte d’ailleurs bien haut nos couleurs nationales.

 


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« The Last Overland » Le périple 4X4 d’une jeune aventurière tricolore

Un des événements majeurs de cette année automobile, c’est l’arrivée en Belgique, après une longue attente, du nouveau Defender. Pour célébrer cette naissance mondiale, Land Rover a permis à huit aventuriers de rallier Londres depuis Singapour avec un très vieux Def’. L’un d’entre eux est une Belge, et fière de l’être. Thérèse-Marie Becker raconte ce périple de 18 000 kilomètres !


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Lenoir : du sur mesure pour Tesla

Lorsque qu’on est passionné par l’automobile, un poil anti-conformiste, féru de nouveautés et de créativité, l’on peut transcender l’existant. Prenez une Tesla, elle deviendra une Lenoir exclusive après être passée chez Cléo Goethals et Simon Quintens.

Installé à Hasselt, le show-room Lenoir est le fruit du travail de ce couple à la vie comme à la ville. Après avoir bâti deux maisons et une famille nombreuse, Cléo Goethals et Simon Quintens ont relevé un nouveau défi : restyliser des voitures. Elle s’occupe de la gérance et lui est plus dans l’atelier.

« Notre objectif est d’améliorer les détails et de rendre le style d’une voiture plus luxueux », explique Simon. Deux marques attirent particulièrement l’attention chez Lenoir : les Jeep deviennent subtilement chic entre leurs mains. Mais ce sont les Tesla qui ont retenu mon attention. Impossible de passer à côté de l’innovation électrique Tesla quand on s’appelle Lenoir puisque ce nom tire son origine de celui d’Etienne Lenoir, ingénieur de Virton qui a inventé le premier moteur à combustion commercial et la première voiture du monde ! C’était en… 1858 ! Cocorico.

Le Graal : la finition

« Les Tesla sont des voitures américaines super efficaces mais nous avons trouvé qu’il fallait en améliorer la finition, les détails pour qu’elles deviennent plus classes », explique Cloé. Il faut dire que Tesla ne propose pas beaucoup de choix de couleurs ou de matières à ses clients, leurs intérieurs sont souvent noirs ou blancs. Du pain béni pour ces adeptes du custom sobre et chic. « Nous offrons du sur mesure à nos clients. Ce que nous voulons proposer, ce sont des packages qui forment un tout cohérent, » nous démontre Simon avant de détailler : « à partir d’échantillons, d’exemples à toucher, nous réhabillons une voiture. Nous cherchons les éléments qui peuvent matcher. Nous avons par exemple un beau package avec une peinture extérieure British green de grande qualité, associée à quelques touches en carbone. » Les poignées de portes et autres éléments aérodynamiques sont alors mis discrètement en valeur. De plus bel effet aussi, le tableau de bord se couvre d’Alcantara foncé, là où la finition d’origine US a plus tendance à se refléter dans le pare-brise.

Toutes numérotées et badgées, les Lenoir se distinguent par leur élégance racée et leur sobre raffinement. Des objets rares, made in Belgium.

Tour de roues

Conduire une Tesla, c’est entrer dans un autre monde, un autre mode de mobilité. Les Tesla sont électriques et surfent sur la vague du succès alors que les grands constructeurs cherchent à les détrôner.

A peine la porte ouverte, le spectacle est total. Pas de boutons, pas de commandes, juste un volant et un énorme écran central qui commande tout : de la clim à la musique, de la téléphonie à internet et aux différents réglages dynamiques de la voiture. Il paraît que la fusée SpaceX du patron de Tesla, Elon Musk, lancée dernièrement, fonctionne aussi uniquement à partir d’écrans.

Le meilleur reste à venir. Dans un silence électrique presque inquiétant, la Tesla prend la route. Et de quelle manière. La Model 3, « la petite » Tesla, roule déjà comme une grande sportive pour arriver à 261 km/h maximum !

Mais c’est la Model X, le SUV 7 places de la marque qui nous a le plus bluffé. L’ouverture des portes arrière en élytres a été pensée par la patron pour pouvoir installer ses enfants sans difficulté à l’arrière. Et quelle gueule ça donne à cette grande voiture.

En plus, avec tous ses occupants à bord, les sensations sont extraordinaires, l’accélération sidérante. Digne des meilleures sportives. On parle de 2,8 secondes pour atteindre la vitesse de 100 km/h. Stratosphérique.

Et, ce qui ne gâche rien, avec avec l’expérience acquise par la marque, l’autonomie grimpe allègrement au-dessus de 400 kilomètres alors qu’une charge de 15 minutes sur une borne « Tesla » permet de rouler 175 kilomètres de plus. De quoi en rassurer plus d’un.


www.lenoir.be